Asmodée avait passez une nuit agité, bercé de cris terrifiant de gens agonisants, il se demandait quels tortueux souvenirs pouvaient bien lui faire entendre entendre de tels cris une fois réveiller, il se demanda même s'il ne rêvait pas encore en fin de compte. Il glissa de son lit préférant ignorer tous ces sons qui lui frapper les tympans. Il enfila une blouse légèrement jaunâtre tachée en de multiples endroit par d'étranges produits par dessus le T-shirt gris pâle dans le lequel il était alors qu'il se mettait au lit.
il enfila des chausson machinalement et ce dirigea vers son frigo d'où il sortit du pain de mie de la mayonnaise un peu de fromage et du jambon, il s'en fit un sandwich qu'il savoura en regardant le film qu'il avait laissait tourner toute la nuit sur un de ses PC. Une fois sa collation finit il fit sa toilettes et enfila des vêtements propres.
Il décida alors de rejoindre son labo, le tout en ce posant deux question, d'abords pourquoi entendait-il toujours ces hurlements, et la deuxième comment allait-il bien pouvoir occuper sa journée?
En ce rapprochant de la porte qui le conduirait à son labo il remarqua que le bruit augmentait en parallèle, tout pour finalement constater qu'il avait bêtement laisser la pour ouverte, les cris venait donc des détenus-cobaye... Mais pour tant de bruit? Il avait l'habitude d'entendre les plaintes de ces pseudos psychopathes qui ce croyait si dur et résistant, mais il ne savait pas grand chose de la douleur aprés tout, Alexander savait lui en partit du moins quel nerfs actionner suivit de quel autre pour menait sa victime à la limite de la mort cérébral et le tout sans le blesser.
Il se promena dans l'horrible laboratoire ou seul un œil aviser et connaisseur pourrait différencier et identifier tout ce qui trainait...
Cherchant lesquels de ses pensionnaires hurlaient ainsi à la mort, il finit dirigé à l'oreille devant une petite salle, il savait, ou plutôt ce rappelait avoir accroché deux jeunes gens, un homme et une femme afin de tenter d'ici quelques jours (le temps que certains produit fassent effet) de les fusionner, le mécanisme n'était pas tout a fait au point et il faut admettre qu'il tâtonnait un peu encore.
Les deux cobaye avait était attaché au plafond auquel ils étaient relié par une chaine chacune à la fin de laquelle on trouvait un crochet qu'on leur avait planté au travers des deux poignets.
Le Savant fût cependant surpris de voir que la n'avait plus qu'un bras de levé l'autre pendait le long de son corps dont la couleur avait changé pour virer à une sorte de bleu métallisé assez troublant, le bras d'ailleurs n'était plus entier, en effet le poignet comme la main était toujours accrocher au crochet, le bras semblait avoir était briser.
Un fumée blanchâtre emplissait la pièce tournant la tête en direction de l'origine il remarqua un trou dans dans sa canalisation fournissant divers zone de son labo en azote liquide (l'azote est liquide à -195,79°C ou en dessous), le liquide s'était déversé sous forme d'aérosols tel une bombe à waters sur leurs jeune corps et en avait gelée des morceaux. Il se tourna allant chercher un vieux colt, un collier pour chien et un laisse en s'adressant aux pauvres captifs:
- Bravo vous avez tenus longtemps malgré l'azote, une erreur regrettable et je m'en excuse, mais je vais être magnanime et vous récompenser, surtout belle fille ta résistance et intéressante.... Sa te dirai de devenir gardienne?Sur ses mots il posa le colt sur le front de l'homme et sans même regarder il l'abattit avant de détacher le femme et de lui mettre collier et laisse, d'un coup de sparadrap il colmata dans l'immédiat le trou et conduisit la demoiselle dans la partie réserver à la "formation" des gardiens....
De retour dans la salle principal il décida d'aller faire un tour chez les détenus, il ainsi sa tenus de rechange retira son visage, pour le remplacer par un aux traits plus jeune, il avait les cheveux mis-long et d'un blanc nacré splendide, c'était un de ses visage préféré, son nouveau nez droit surplomber une bouche claire elle-même entouré d'une vaste étendus de peau blanche et dénué de poil ou de duvet.
Il rangea son visage usuel et en prit trois autre de rechange en plus, armé de nombreux scalpels il partit a l'étage des détenus, le premier donc...
Il ce promena longuement sans ce presser amusé de croisé des gardiens qui avait du mal à comprendre s'il était le Dr Mengele ou non. Dans le doute il firent comme ci ce qui déplut à Asmodée il faudrait qu'il leur laisse moins de cerveau e état qu'il applique simplement les règles sans chercher à réfléchirent...
Après avoir croisé différents détenus il décida de ce pointer dans une cellule et de voir, à vrai dire il s'ennuyait un peu ces derniers temps voila pourquoi il ressentait ce besoin de voir de nouvelle tête sans les estropier. Il déambula ainsi jusque dans l'aile ouest ou il finit par entendre un instrument qu'il n'avait pas écouter depuis vraiment longtemps.... Du violoncelle!
Il chercha alors la cellule qui semblait ce donner le rôle de radio, l'ayant trouver il inséra une clé passe partout dedans et ouvrit la porte pas inquiet pour un sous de qui pouvait être derrière...
Il ne trouva qu'un homme dans cette cellule qui jouait, il ne c'était d'ailleurs pas arrêter de jouer en entendant le bruits des clé dans la serrure, il était plutôt bien bâti et lui aussi porter des cheveux blanc, les siens cela dit semblant être vraiment issues de sont propre corps.
Le Savant remarqua qu'il y avait quantité d'affaires dans cette chambre, dont des craies, il conclut en voyant grâce aux bougies le vide emplissant les murs que c'était un nouvel arrivant, il lui dit:
-Bonjour, pardonnez-moi de vous déranger mais je suis arriver ici il y a peu et alors que je me promenais je me suis perdu, j'ai alors alors entendus votre musique, et je n'ai pus m'empêcher d'entrer tellement j'ai était surpris autant que heureux d'entendre nothing else matters, qui et peu connus maintenant... Je ne me suis pas présenté je Krness Helsong à votre service puis-je rester un peu?